L'ÉDUCATION SEXUELLE A L'ECOLE
- teatimebymargalith
- 14 août
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 août
Question à 1000 euros !
Est ce que l'on doit enseigner l'éducation sexuelle à l'école ?
Le simple fait que cette question existe en dit déjà long sur l’état du monde 🤯 ...
Après tout, peut-on s’attendre à autre chose dans un monde qui a perdu ses repères ?
Dans un monde où les valeurs se sont effacées, où le respect n’est plus qu’un mot, où tout se consomme, y compris l’innocence…
Nous marchons vers un horizon qui n’a plus de nom🚨. L’enfant n’est plus protégé mais exposé.
Et l’on ose appeler “éducation” ce qui n’est, en vérité, que l’absurdité d’un monde qui a tout perdu.
Bienvenue dans cet article qui est pour moi un cri du coeur dans le silence et qui contribuera je l'espère à réveiller certains d'entre nous .
Ce n’est pas parce que certains parents délaissent leur rôle qu’on doit le confisquer à tous. Ce n’est pas parce que certaines familles n’ont pas les mots que l’on doit imposer un discours unique dans toutes les maisons.
Et ce n’est certainement pas à l’école de se faire le grand sauveur des consciences.
L’éducation sexuelle est un sujet intime, profond, qui touche au corps, à l’âme, à la pudeur, à la conscience de soi ⭐️.
Ce n’est pas un chapitre de biologie comme un autre.
C’est une parole qui ne peut jaillir que dans un espace d’amour, de confiance, de respect et de connaissance de l’enfant — et cet espace, c’est la famille.
L’école, déjà lourdement chargée de programmes, de normes, de protocoles, et dont la notoriété n'a rien de glorieux cette dernière décennie, s’autorise aujourd’hui à pénétrer l’un des liens les plus sacrés : la Famiglia !!
Sous prétexte de prévention ou de modernité, on installe une parole froide, souvent déconnectée, parfois choquante, dans des esprits en construction dans un monde dépourvue de valeurs .
Mais quel est le but ?
On veut leur parler du corps, mais on ne connaît rien de leur cœur. On leur parle de désir, mais on ignore leur histoire. On leur parle d’intimité, sans leur avoir jamais donné la sécurité nécessaire pour l’entendre.
Parler d’éducation sexuelle à un enfant de trois ans… rien que l’idée, c’est déjà une gifle à son innocence. À cet âge, il n’a pas les mots, il n’a pas la place en lui pour accueillir ce genre de sujets.
Et je vais aller encore plus loin dans ce raisonnement, venir, sans invitation, déposer dans son esprit des images et des mots qui n’y étaient pas, c’est rompre quelque chose de précieux. C’est une intrusion, une violence silencieuse.
Oui, le mot est fort : c’est une forme de viol mental. Car on impose une vision qui ne lui appartient pas, on force l’ouverture d’une porte qu’il n’a pas choisi d’ouvrir.
La pudeur dans la Torah n’est pas un détail : c’est un art. C’est le respect profond de l’âme, de l’œil, de l’imagination. C’est transmettre avec noblesse, sans montrer ce qui détruirait l’innocence. Ce que l’enfant voit imprime sa mémoire et on ne joue pas avec cela.
Alors non, ce n’est pas à l’école de faire cela. Ce n’est pas son rôle. Ce n’est pas son enfant.
L’école peut accompagner certes cad qu'elle peut informer les parents, leur donner des outils, proposer un cadre s’ils le souhaitent. Mais elle ne peut, en aucun cas, remplacer. Car à ce moment-là, ce n’est plus de pédagogie qu’il s’agit, mais d’ingérence.
L’ingérence dans ce qu’il reste de plus humain, de plus précieux : la transmission.
Ce que la société nous a déjà volé — le respect, les valeurs, la parole — voilà qu’on nous arrache maintenant le droit de parler nous-mêmes à nos enfants de la vie.
De la vie dans ce qu’elle a de plus intime, de plus fragile, de plus sacré.
Et il ne s’agit pas de tabou. Il ne s’agit pas de cacher.
Il s’agit de respect.
Le respect de chaque foyer, de chaque culture, de chaque sensibilité.
Il s’agit de reconnaître le parent comme premier éducateur. Et de lui rendre ce qui lui appartient.
L’éducation sexuelle n’est pas un programme à diffuser. C’est un lien à construire. Et quand on en fait une politique scolaire, on brise ce lien. On piétine ce qu’il reste de verticalité entre générations.
On fabrique une société sans repères, sans pudeur, sans âme.
Et nous disons NON.
⛔️ Non à cette intrusion.
⛔️ Non à cette violence sourde.
⛔️ Non à ce prétendu progrès qui efface les racines.
Il est temps que les parents se lèvent. Il est temps de reprendre notre vie en mains.
Il est temps de redire avec fermeté :
Nos enfants ne vous appartiennent pas












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